Welcoem to posts!!
in the future - u will be able to do some more stuff here,,,!! like pat catgirl- i mean um yeah... for now u can only see others's posts :c
Encore une gifle magistrale assénée à ces DZespérés !
78 - 2
Applications nuclĂ©aires : Le Maroc et lâAIEA renforcent leur partenariat
Le directeur gĂ©nĂ©ral du Centre National de lâĂnergie, des Sciences et des Techniques NuclĂ©aires (CNESTEN), Hamid Marah, et le directeur gĂ©nĂ©ral de lâAgence internationale de lâĂ©nergie atomique, Rafael Mariano Grossi, ont procĂ©dĂ©, lundi Ă Vienne, Ă la signature de deux importants accords de partenariat.
La cĂ©rĂ©monie de signature, qui sâest tenue en marge de la 68e confĂ©rence gĂ©nĂ©rale de lâAgence, a connu la prĂ©sence de la ministre de la Transition Ă©nergĂ©tique et du DĂ©veloppement durable, Leila Benali, et de lâambassadeur reprĂ©sentant permanent du Maroc auprĂšs des Organisations internationales Ă Vienne, Azzeddine Farhane.
Le premier accord est relatif au deuxiĂšme renouvellement, pour la pĂ©riode 2025-2029, de la reconnaissance du CNESTEN en tant que Centre collaborateur international dans lâutilisation des techniques nuclĂ©aires et isotopiques dans trois domaines : la gestion des ressources en eau, la protection de lâenvironnement et les applications industrielles.
Le second accord a, pour sa part, trait au dĂ©veloppement de compĂ©tences et de capacitĂ©s dans les domaines de la sĂ»retĂ© radiologique, la sĂ»retĂ© du transport, la sĂ»retĂ© des dĂ©chets radioactifs, ainsi que la sĂ©curitĂ© nuclĂ©aire. Lâobjectif est de rĂ©pondre aux besoins croissants du Maroc en matiĂšre de dĂ©veloppement socio-Ă©conomique avec une meilleure gestion durable de ses ressources, tout en veillant Ă poursuivre le partage de son savoir et de son expĂ©rience, notamment avec les pays africains.
Ă cette occasion, le DG de lâAIEA a remis Ă M. Marah deux distinctions de reconnaissance du CNESTEN comme centre collaborateur de lâAgence dans les applications pacifiques nuclĂ©aires.
maroc-diplomatique.net/applications-nucleaires-le-âŠ
240 - 4
En Europe, le rĂ©gime dâAlger «innove» en orchestrant des manifestations contre le Maroc
Les membres de la communautĂ© marocaine Ă©tablie en Belgique ont dĂ©voilĂ© et mis en Ă©chec un plan machiavĂ©lique Ă©laborĂ© par le rĂ©gime dâAlger, en vue de porter atteinte Ă lâimage du Maroc en Europe et Ă son unitĂ© territoriale. Le personnel de lâambassade et des consulats dâAlgĂ©rie Ă Bruxelles ont en effet embrigadĂ© des clochards et des sans-papiers marocains, en les faisant passer pour des sĂ©paratistes du Rif. Une revue de presse dâAl Ahdath Al Maghribia.
Qui se ressemble sâassemble. Câest dire combien la diplomatie algĂ©rienne est enlisĂ©e jusquâau cou dans la clochardisation en se concentrant sur des actes qui sont loin de servir les intĂ©rĂȘts du pays quâelle est censĂ©e reprĂ©senter.
En effet, des membres de lâambassade et des consulats dâAlgĂ©rie en Belgique ont jetĂ©, le week-end dernier, leur dĂ©volu sur une poignĂ©e de Marocains que la «harga» (lâimmigration clandestine) a transformĂ©s en clochards en Belgique, en leur versant de lâargent en contrepartie de lâorganisation Ă Bruxelles dâune pseudo-manifestation anti-marocaine, appelant au sĂ©paratisme dans le nord du Royaume.
Assabah de ce mercredi 18 septembre rapporte avoir Ă©tĂ© contactĂ© par des membres de la communautĂ© marocaine Ă©tablie en Belgique, qui lâont informĂ© que lesdits diplomates algĂ©riens avaient organisĂ©, samedi dernier Ă Bruxelles, une rĂ©union avec trois sĂ©paratistes notoires, originaires du nord du Maroc.
Ces derniers ont reçu chacun la somme de 3.000 euros pour rameuter le maximum possible de Marocains dans une marche appelant à une prétendue «indépendance du Rif».
Des clochards vivant dans les rues de Bruxelles et autres agglomĂ©rations de Belgique ont Ă©galement Ă©tĂ© approchĂ©s par les diplomates algĂ©riens, qui leur ont versĂ© 200 euros chacun, afin de les inciter Ă participer Ă cette manifestation ciblant lâunitĂ© du Maroc.
Selon lâun des interlocuteurs dâAssabah Ă Bruxelles, cette tentative dâorganiser une marche anti-marocaine a finalement fait chou blanc, malgrĂ© les gros moyens financiers mis en Ćuvre par les reprĂ©sentants du rĂ©gime dâAlger.
Seule une poignĂ©e dâindividus, tous des harragas et des clochards, se sont rendus dans le lieu indiquĂ© pour le dĂ©part de cette manifestation. Des membres du Polisario Ă©tablis dans diffĂ©rents pays europĂ©ens ont Ă©tĂ© appelĂ©s Ă la rescousse, en vue de grossir les rangs de cette manifestation. En vain.
De nombreuses vidĂ©os ont dâailleurs tĂ©moignĂ© de lâĂ©chec total de la «diplomatie» subversive algĂ©rienne Ă monter des Marocains contre leur propre pays.
Ces derniers ont plutĂŽt mis en exergue leur attachement Ă leur nation dâorigine en dĂ©guerpissant des lieux quelques minutes seulement aprĂšs leur arrivĂ©e, rejetant ainsi leur instrumentalisation par le rĂ©gime dâAlger.
La communautĂ© marocaine en Belgique, forte de plus de 600.000 individus, nâa pas voulu descendre dans la rue pour contrer cette basse manĆuvre algĂ©rienne, prĂ©fĂ©rant garder son calme afin de ne pas donner dâimportance, aux yeux des locaux, Ă un non-Ă©vĂ©nement.
fr.le360.ma/politique/en-europe-le-regime-dalger-iâŠ
293 - 16
Bonjour, Je vous souhaite une excellente journĂ©e Inshallah ! đčđČđŠ
" Prévenir la trahison, débusquer le faux ami, le jaloux parent, le traßtre avant qu'il inocule son venin est une opération aussi complexe que de nettoyer l'anus d'une hyÚne. "
Ahmadou Kourouma
167 - 1
Mascarade de la prĂ©sidentielle algĂ©rienne, le jour dâaprĂšs: la monnaie sâeffondre
La poussiĂšre du scandale de la prĂ©sidentielle algĂ©rienne et de son lot de fraudes massives et de chiffres cacophoniques nâĂ©tait pas encore retombĂ©e, quâun nouveau feu se dĂ©clare dans le pays du monde Ă lâenvers, cette fois-ci sur le front de lâĂ©conomie. Le taux de change du dinar algĂ©rien sur le marchĂ© parallĂšle, le seul qui vaille, enregistre des records de baisse face Ă lâeuro: depuis le dimanche 15 septembre, 1 euro sâĂ©change contre pas moins de 244,5 dinars. Un nouveau symptĂŽme dâune Ă©conomie en faillite, dâinstitutions qui pĂ©riclitent et de citoyens qui ne font plus confiance Ă leur monnaie.
En offrant Ă la terre entiĂšre le dĂ©solant spectacle dâune prĂ©sidentielle oĂč le ridicule de la campagne lâa disputĂ© Ă la mascarade des rĂ©sultats, le rĂ©gime dâAlger nâa pas seulement vidĂ© le pays de tout semblant de crĂ©dibilitĂ©. Il lâa Ă©galement, et littĂ©ralement, ruinĂ©. Preuve en est lâeffondrement de la monnaie algĂ©rienne face Ă lâeuro ces derniers jours.
Depuis le dimanche 8 septembre, au lendemain de la fameuse prĂ©sidentielle, dont la seule certitude est dâavoir (re)portĂ© un Tebboune sĂ©nile et mythomane Ă la tĂȘte du pays, la valeur du dinar algĂ©rien ne cesse de chuter, signe supplĂ©mentaire dâune perte totale de confiance des AlgĂ©riens dans un pays dĂ©sormais dĂ©sossĂ© de toute institution crĂ©dible.
Ainsi, et selon ces mĂȘmes mĂ©dias qui tressent des lauriers en paille Ă un «SystĂšme» en carton, le 8 septembre, lâeuro Ă©tait cotĂ© Ă 242,5 dinars sur le marchĂ© noir des devises, le seul qui corresponde Ă la rĂ©alitĂ©. Le dimanche 15 septembre, la devise europĂ©enne sâĂ©changeait contre 244,5 dinars, soit une hausse de deux dinars en lâespace dâune seule semaine. RĂ©sultat, pour acheter 100 euros, il faudra dĂ©sormais dĂ©bourser 24.450 dinars, contre 24.250 DZD une semaine plus tĂŽt, jour pour jour.
Ăvidemment, ce nâest pas du cĂŽtĂ© des banques, et encore moins du cĂŽtĂ© de la Banque centrale algĂ©rienne, quâil faut regarder pour avoir la vĂ©ritĂ© des taux de change. Dans le pays du monde Ă lâenvers, la marketplace de rĂ©fĂ©rence pour lâachat et la vente de devises, câest le fameux square dâAlger, soit le marchĂ© noir, oĂč les transactions se font sous le manteau. Le Square Port SaĂŻd Ă Alger est le vĂ©ritable indicateur du taux de change en AlgĂ©rie. Car sur le marchĂ© «officiel», la monnaie locale est restĂ©e parfaitement stable: selon la cotation commerciale du dinar algĂ©rien, fixĂ©e par la Banque dâAlgĂ©rie entre le 13 et le 17 septembre, un euro est proposĂ© Ă la vente Ă 146,5 dinars. Mais il ne sâagit lĂ que de «monnaie de singe» et de taux totalement fictifs, situation qui sâexplique par la faiblesse du systĂšme bancaire algĂ©rien et lâabsence de bureaux de change.
Square Port SaĂŻd est la vraie bourse de change du pays, vers laquelle voyageurs, hommes dâaffaires et mĂȘme des parlementaires et des ministres (Ahmed Ouyahya y Ă©coulait de ses propres aveux des lingots dâor) se dirigent pour vendre des dinars contre des devises. Et pour cause, la prime appliquĂ©e sur le marchĂ© parallĂšle est nettement plus importante par rapport au taux de change officiel. Ce marchĂ© est alimentĂ© grandement par le rapatriement des retraites dâanciens expatriĂ©s algĂ©riens, les transferts de fonds de la diaspora, la surfacturation des importations, les spĂ©culations sur les devises ou encore la fuite des capitaux.
Quand les Algériens votent avec leur pied⊠et leur porte-monnaie en devises
Que dit donc la baisse du dinar algĂ©rien face Ă lâeuro en particulier? En rĂšgle gĂ©nĂ©rale, un tel phĂ©nomĂšne, et lâAlgĂ©rie nous y a habituĂ©s, tient Ă lâĂ©volution du PIB du pays et donc Ă la crĂ©ation de richesse, Ă lâĂ©volution du cours du baril de pĂ©trole, qui influe sur la valeur du dinar, avec souvent un tarissement des rĂ©serves en devises, et Ă la productivitĂ© de lâĂ©conomie algĂ©rienne hors hydrocarbures, par dĂ©finition faible, et son impact dans le contexte mondial et le niveau de lâinflation.
Sauf que cette fois-ci, un autre facteur, le plus grave de tous, est venu se rajouter: la totale perte de confiance du marchĂ© au lendemain du simulacre de prĂ©sidentielle qui a mis Ă nu lâabsence dâinstitutions un tant soit peu crĂ©dibles.
Le rĂ©cit est une suite de couacs dĂ©montrant que le rĂ©gime est incapable ne serait-ce que de sauver les apparences. En version trĂšs courte, et dans lâordre ou presque: un taux de participation officiel annoncĂ© Ă 48%, alors que, tout aussi officiellement, ils Ă©taient Ă peine 5,6 millions de suffrages exprimĂ©s sur 24,5 millions dâinscrits sur les listes Ă©lectorales, selon les chiffres donnĂ©s par lâAutoritĂ© nationale indĂ©pendante pour les Ă©lections (ANIE). Le taux de participation rĂ©el se limitait donc Ă prĂšs de 23%. Lâinstant dâaprĂšs, un prĂ©sident mal Ă©lu qui monte au crĂ©neau avec ses deux liĂšvres pour dĂ©noncer les rĂ©sultats⊠qui lâont fait vainqueur. Une semaine aprĂšs: une Cour constitutionnelle qui explose tout pour sortir ses propres chiffres. En croyant sauver Abdelmadjid Tebboune du cinglant camouflet Ă©lectoral infligĂ© par les AlgĂ©riens, qui ont massivement boudĂ© les urnes, elle a abaissĂ© de 10 points le taux de voix exprimĂ©es en sa faveur⊠tout en lui accordant 2,5 millions de voix de plus.
De quoi transformer les élections présidentielles anticipées du 7 septembre en piÚtre vaudeville.
Le jeu de lâoffre et de la demande
«Money talks», disent affectueusement les AmĂ©ricains. Si les AlgĂ©riens ont votĂ© avec leur pied en boycottant les Ă©lections, les plus bankables parmi eux prĂ©fĂšrent dĂ©sormais garder leur bas de laine en devises, crĂ©ant une rarĂ©faction de lâoffre et, par ricochet, un surenchĂ©rissement de la valeur de lâeuro, monnaie la plus convoitĂ©e.
La rĂšgle Ă©conomique est des plus basiques: lâeffondrement dâune monnaie a pour corollaire immĂ©diat celui de toute lâĂ©conomie, ou de ce qui en reste. Et lâargent du pĂ©trole et du gaz -dont les cours sont Ă©galement en baisse- nây changera rien. Quand les AlgĂ©riens Ă©changent dare-dare leurs dinars contre des euros ou des dollars, cela ne veut dire quâune seule chose: ils ne font pas confiance Ă la monnaie nationale, et partant au garant de cette monnaie, supposĂ© ĂȘtre lâĂtat. Cette course Ă se dĂ©barrasser des dinars aura des rĂ©percussions brutales Ă la fois Ă©conomiques et politiques.
fr.le360.ma/monde/mascarade-de-la-presidentielle-aâŠ
178 - 8
đđ !
339 - 24
Le Maroc futsal sâimpose face au Tadjikistan en Coupe du Monde
DĂšs le coup dâenvoi, les Marocains ont montrĂ© leurs intentions. Othmane Boumezou a ouvert le score dâune frappe prĂ©cise. Sous la direction de Hicham Dguig, lâĂ©quipe marocaine sâest crĂ©Ă© des occasions mais a Ă©galement souffert par moment.
En seconde pĂ©riode, Othmane Boumezou a inscrit son deuxiĂšme but (2-0), offrant un avantage alors que le Maroc semblait lĂ©gĂšrement en difficultĂ©. Le Tadjikistan a rĂ©duit lâĂ©cart grĂące Ă Rizomov, qui a marquĂ© le premier but de lâhistoire du Tadjikistan en Coupe du Monde de futsal, ravivant lâespoir (2-1). Cependant, les Lions de lâAtlas ont rĂ©agi rapidement. Soufiane Charraoui et Idriss Raiss El Fenni ont alourdi le score (4-1). Le Tadjikistan a marquĂ© un deuxiĂšme but en fin de match, mais lâavance marocaine Ă©tait trop confortable pour espĂ©rer une remontĂ©e.
Le Maroc devra tirer les leçons de ce match pour les prochaines rencontres afin dâĂ©viter de futures surprises.
www.mountakhab.net/le-maroc-futsal-simpose-face-auâŠ
169 - 1
Bonjour, Que cette journĂ©e vous soit douce et trĂšs agrĂ©able Inshallah ! đčđČđŠ
" Vis comme si tu devais mourir demain. Apprends comme si tu devais vivre toujours. "
Gandhi
140 - 0
Dbibinaâ : Soulaiman Raissouni, hier violeur, aujourdâhui menteur aussi
Dbibina est un fin connaisseur de la scĂšne politique nationale, et Ă ce titre, il a connaissance de ce qui se produisait au Maroc dans ce quâon avait ensuite appelĂ© les annĂ©es de plomb. Ă cette Ă©poque-lĂ , se souvient Dbibina, des militants de tous bords se retrouvaient en prison, subissaient des conditions de dĂ©tention difficiles, passaient des annĂ©es en privation de libertĂ©, et puis sortaient ; et quand ils sortaient, ils Ă©taient aurĂ©olĂ©s de leur militantisme, de leurs idĂ©es, de leurs dĂ©bats.
Puis Dbibina fait un saut de plusieurs dĂ©cennies, et se retrouve dans ce Maroc dâaujourdâhui, ce Maroc oĂč, quoi quâen disent les Ă©ternels dĂ©tracteurs du royaume, le droit est respectĂ©, le droit de chacun, et oĂč il ne suffit pas de se dire journaliste pour ĂȘtre acclamĂ©, glorifiĂ©. Ăa, Soulaiman Raissouni ne lâa jamais compris, et ne le comprendra jamais. Alors il insulte, il attaque son pays et ses institutions, sa justice, son roi, alors quâil nâest lui mĂȘme quâun vulgaire violeur. Il a en effet agressĂ© et violĂ© un jeune homme, militant LGBT, qui a dĂ©fendu ses droits devant une cour de justice ; et Raissouni a Ă©tĂ© condamnĂ© pour ça. Dbibina ne voit vraiment pas ce militantisme et cette gloire dont veut se revĂȘtir cet individu qui se dit journaliste.
Alors, Ă dĂ©faut de convaincre, Raissouni ment. Câest plus facile, et il y aura des gens pour le croire, comme son ami Francisco Carrion, qui se prend pour lâennemi irrĂ©ductible du Maroc en se targuant de soutenir le ââpolisarioââ. Pour quelles raisons ? Rien dâintelligible, sauf que Carrion, qui Ă©volue dans la mĂȘme galaxie que ses ââcollĂšguesââ Cembrero et Lmrabet, dĂ©roule des non-sens, des contre-vĂ©ritĂ©s, des insultes faciles Ă gober pour ceux qui vivent encore dans les annĂ©es 70 du siĂšcle dernier.
122 jours sans mangerâŠ
Dbibina pense Ă tout cela en lisant le communiquĂ© publiĂ© par la direction de lâadministration pĂ©nitentiaire, et se souvient de ses doutes sur cette grĂšve de la faim auto-annoncĂ©e par Raissouni qui dĂ©clare sans craindre le ridicule une durĂ©e de 122 jours⊠122 jours sans manger, en buvant trĂšs peu et en ingĂ©rant du sucre de temps en temps ! Il faut croire que cet homme est stupide, estime Dbibina, car en mentant et en ingĂ©rant des complĂ©ments alimentaires pendant sa ââgrĂšveââ, comme lâaffirme la direction des prisons, il a oubliĂ© que dans un Ă©tablissement pĂ©nitencier, il y a des camĂ©ras, qui enregistrent tout. Lâadministration pĂ©nitentiaire est tout Ă fait disposĂ©e Ă les confier Ă un organe compĂ©tent pour dĂ©mĂȘler le vrai du faux.
Oui, se rĂ©pĂšte Dbibina, Raissouni doit ĂȘtre vraiment stupide car, dans sa volubilitĂ© post-carcĂ©rale, voilĂ quâil nous sort lâhistoire de ce roman quâil aurait selon lui Ă©crit en prison et qui lui a Ă©tĂ© mĂ©chamment confisquĂ© par les impitoyables et fĂ©roces gardiens de prison. LĂ encore, lâadministration pĂ©nitentiaire, toujours transparente et nâayant rien Ă cacher, admet avoir confisquĂ© des Ă©crits et explique quâil ne sâagit pas dâun roman, mais dâĂ©crits subversifs, insultants, injurieux, qui ont Ă©tĂ© remis au parquet. LĂ aussi, lâadministration se dit prĂȘte Ă confier ces Ă©crits Ă une commission spĂ©cialisĂ©e qui se prononcera sur la nature du texte.
Croyant marcher sur les pas de ses illustres prĂ©dĂ©cesseurs militants politiques, journalistes, avocats, enseignants, qui ont vraiment militĂ© pour la grandeur de ce pays, Raissouni sâaperçoit quâils sont bien au-dessus de lui. Alors, il continue de mentir. Il instrumentalise sa supposĂ©e ââgrĂšve de la faimââ pour ne pas se rendre Ă son procĂšs et y affronter lâhomme quâil a agressĂ© et violĂ©, parce que, justement, il lâa agressĂ© et violĂ© ! Il va dire Ă qui veut lâentendre â il y en a toujours â quâil serait prĂȘt Ă renoncer Ă son mĂ©tier de journaliste si Taoufik Bouachrine est libĂ©rĂ©. MĂȘme Ghandi nây aurait pas pensĂ©, Ă celle-lĂ !
Et bien entendu, il y a des gens qui le croient, qui le soutiennent, qui portent son cas. Mais Dbibina, en fin observateur quâil est, relĂšve que trĂšs peu de marocains sâintĂ©ressent Ă son affaire ; ils voient le Maroc avancer et ils avancent avec lui, malgrĂ© les inĂ©vitables problĂšmes qui peuvent se poser et qui se rĂ©solvent les uns Ă la suite des autres. Et Ă lâĂ©tranger, les gens sont aussi occupĂ©s Ă autre chose. Les gens ici et ailleurs ont autre chose Ă faire que dâĂ©couter un violeur qui essaie de se refaire une virginitĂ©.
Seuls des types comme Cembrero, des exilĂ©s marocains en mal de leur pays et cherchant le clic, et bien entendu RSF, le croient encore. Et bien Ă©videmment aussi le jeune et si immature Francisco CarriĂłn qui, Ă court dâarguments et Ă dĂ©faut de preuves, sâen prend aux journalistes marocains, traitĂ©s de chiens qui aboient, ce qui lui vaut une poursuite judiciaire pour injure.
Et Dbibina, concernant Raissouni, conclut : que veut-il, pourquoi, aprĂšs avoir Ă©tĂ© graciĂ©, se comporte-t-il ainsi ? Se pense-t-il intouchable ? Le violeur se croit-il sorti dâaffaire alors mĂȘme quâil continue dâinsulter et de calomnier ? Dbibna se dit que, finalement, il faut ignorer ce type comme lâignorent les Marocains, confiants dans leur justice. Sâil insulte, injurie, diffame ou reviole, la loi aura son mot Ă dire, câest tout !
www.barlamane.com/fr/dbibina-soulaiman-raissouni-hâŠ
119 - 5
Ils souffrent tous de problĂšmes psychiatriques ! đ±
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