Dans un univers fantasmagorique qui emprunte autant à l’esthétique de Charles Burns qu’à l’ère digitale du glitch art, Vincent Taurelle a engendré Taurelle. Le geste est précis chez ce pianiste virtuose et le groove électronique impeccable, préférant laisser deviner une grande sensibilité derrière ses machines et cette carapace de synthétiseurs.