in the future - u will be able to do some more stuff here,,,!! like pat catgirl- i mean um yeah... for now u can only see others's posts :c
18 mars 2012. Bouguenais. 21h. Marion, 14 ans, est prise dâune envie pressante. Elle pousse la porte des toilettes publiques.
Soudain, derriÚre elle, un homme grand et menaçant apparaßt.
Il se précipite sur elle, la viole puis la poignarde de 69 coups de couteau. Le corps de Marion est découvert le lendemain matin, méconnaissable.
Et lâassassin nâest pas un inconnu : il sâappelle Yannick Luende Bothelo, il est congolais et est dĂ©jĂ bien connu de la police pour de nombreux faits de violence.
9 jours plus tĂŽt il a brisĂ© son bracelet Ă©lectronique, sans que personne ne vienne lâinterpeller.
Quelques heures aprĂšs lâassassinat de Marion, il poignarde un homme ĂągĂ© de 71 ans et agresse un homme de 85 ans. Ils sâen sortiront miraculeusement.
Nâoublions jamais Marion Rousset.
302 - 16
17 mars 2019. Marseille. Marie-Bélen, 21 ans, est une brillante étudiante en anthropologie. Comme tous les jours, elle prend le métro à la station Timone dans le 5Úme arrondissement.
Mais ce jour-lĂ , Fayçal, un multirĂ©cidiviste de 17 ans, capuche sur la tĂȘte, lâinterpelle.
Exaspérée, elle ne répond pas.
Furieux, il sort un couteau et plonge sa lame dans le cĆur de la jeune femme. Il sâempare de son tĂ©lĂ©phone et sâenfuit.
Ce meurtrier nâen est pas Ă son coup dâessai. Il est bien connu de la Justice pour de nombreux dĂ©lits. Il est mĂȘme sous contrĂŽle judiciaire pour agression sexuelle sur mineur et trafic de stupĂ©fiants.
Il sera interpellé 3 mois plus tard et condamné à 20 ans de prison.
Nâoublions jamais Marie-BĂ©len Pisano.
462 - 42
« Et lĂ , on voudrait nous dire que sa mort, câest la faute Ă pas de chance ? » sâagace soudain Fabien.
En cause, un courrier reçu Ă la fin du mois de janvier qui lâinforme lui, son Ă©pouse et son fils cadet, des conclusions de lâexpertise menĂ©e sur le suspect.
« Totalement pris dans une problĂ©matique dĂ©lirante et hallucinatoire paranoĂŻde [âŠ], atteint dâun trouble psychique ayant totalement aboli son discernement au sens de l'article 122-1 du Code pĂ©nal », rĂ©sume lâexpert sur le profil du meurtrier prĂ©sumĂ©.
La famille de Valentin, abasourdie par un tel rapport, redoute que ces conclusions psychiatriques ne les privent de procĂšs. Ils ont dâores et dĂ©jĂ demandĂ© une contre-expertise.
« Il faudra mâexpliquer comment on est capable de dĂ©terminer en aoĂ»t, donc cinq mois aprĂšs la mort de Valentin, que le suspect nâavait pas de discernement au moment des faits », sâĂ©nerve le pĂšre de famille, qui ne comprend pas cette expertise.
« On parle bien dâhomicide routier mĂȘme quand le conducteur responsable est sous lâinfluence de lâalcool ou de la drogue. Moi, si je prends le volant en ayant bu, je sais que je suis un meurtrier en puissanceâŠ
Mais lui, il pourrait sâen sortir sans procĂšs ? » souligne Fabien, qui milite avec son avocat pour la reconnaissance dâun « homicide psychiatrique ».
Et il sâĂ©tonne : « Le suspect en question suivait un BTS, il Ă©tait insĂ©rĂ©, il Ă©tait stabilisĂ©, et lĂ , on nous dit maintenant quâil nâavait plus de discernement ? » Il en veut Ă©galement aux mĂ©decins qui laissent « ces gens [atteints de troubles psychiques] dans la rue et qui pensent quâils peuvent les soigner ». « Quâest ce quâil faisait dehors ? Comment ça se fait quâil nâait pas Ă©tĂ© suivi ? Ces personnes sont des bombes Ă retardement, il faudrait quâils en aient conscience », martĂšle-t-il.
Mais plus que tout, il en veut aux politiques. « On fait des minutes de silence pour un jeune qui fait de la merde. On fait une cagnotte pour ce délinquant. Tout ça, ça me met en rogne », lùche Fabien, qui ne pardonne pas aux politiques de se soucier davantage des délinquants que des victimes.
« Le problĂšme, en France, câest que les victimes payent. Je vais payer mes impĂŽts pour payer le traitement de celui qui a tuĂ© mon fils », ajoute-t-il, las.
Car depuis la mort de Valentin, Fabien et sa famille se sentent seuls, abandonnĂ©s de lâĂtat. « Nous allons payer plus dâimpĂŽts maintenant que Valentin nâest plus lĂ , Romain, son petit frĂšre, nâaura plus le droit aux mĂȘmes aides pour ses Ă©tudes, nous nâavons pas le droit Ă la protection juridique parce que nous sommes des "victimes par ricochets"⊠», Ă©numĂšre avec agacement Fabien.
MalgrĂ© cela, il promet de ne pas baisser les bras. « Jâai Ă©tĂ© prĂȘt Ă donner ma vie pour la France, maintenant je vais me battre pour mon fils », conclut-il.
563 - 47
VOICI LE PLUS GRAND TABOU EN MATIERE D'INSECURITE
ChĂšre Madame, cher Monsieur,
Il y a quelques jours, Lino Sousa Loureiro, 69 ans, a été poignardé à mort à Mulhouse.
Sa mort est le symbole du chaos migratoire en France.
Lui, lâimmigrĂ© protugais, intĂ©grĂ©, respectueux des lois, a Ă©tĂ© poignardĂ© Ă mort par Brahim, un OQTF algĂ©rien, terroriste, rĂ©cidiviste, qui Ă©tait libre en France.
Tout le monde le sait, mais personne (ou presque) ne le dit : lâimmigration est un moteur majeur de lâinsĂ©curitĂ©.
Laissez-moi vous le démontrer rapidement.
Lino est arrivĂ© en France il y a 30 ans pour travailler dans le BTP. Il sâest mariĂ© en France, et a eu 2 fils.
Ce samedi 22 février, Lino profite de la belle journée pour faire un tour au marché...
LĂ , alors quâil se promĂšne Ă quelques centaines de mĂštres de chez lui, il entend des cris dans la rue.
âAllah AKBAR !â
Lino a Ă peine le temps de se retourner quâun homme, armĂ© dâun tournevis et dâun couteau, lui fonce dessus.
Lino lĂąche ses sacs instantanĂ©ment. Il sent une lame sâenfoncer dans sa chair.
Dans le chaos gĂ©nĂ©ral, il sâeffondre au sol. Mortellement blessĂ©.
Comme le raconte sa famille au Figaro, alors quâil mourait sur le bĂ©ton froid, dans la panique publique, une jeune fille a parlĂ© Ă Lino. Elle a attendu les secours.
Malheureusement, Ă leur arrivĂ©e, câest dĂ©jĂ trop tard. Ils nâont pas pu ranimer Lino.
Alors que Lino est un immigré modÚle, son meurtrier est tout le contraire.
Brahim A est arrivĂ© illĂ©galement depuis lâAlgĂ©rie en 2014.
Vivant de petits boulots, il avait Ă©tĂ©, il y a quelques mois seulement, condamnĂ© pour âapologie du terrorismeâ.
Suite Ă lâattaque en IsraĂ«l du 7 octobre, il avait tournĂ© une vidĂ©o dans les rues de Mulhouse, appelant Ă prendre les armes et Ă âcombattre les mĂ©crĂ©antsâ.
Suite à cette condamnation à 6 mois de prison, Brahim A. avait été placé sous OQTF dans un centre de rétention.
Puis, comme lâa rĂ©vĂ©lĂ© François Bayrou hier, lâAlgĂ©rie a refusĂ© 14 fois (!!) de reprendre son ressortissant.
Au bout de 90 jours en rĂ©tention, un juge de la Cour dâAppel a demandĂ© sa remise en libertĂ©.
Il Ă©tait donc libre depuis des mois. Ce nâĂ©tait quâune question de temps avant quâil ne passe Ă lâacte.
La France est un pays trĂšs (trop) tolĂ©rant. Elle accueille des centaines de milliers dâimmigrĂ©s comme Lino, qui travaillent, s'intĂšgrent et ne posent pas de problĂšme.
Mais il nây a aucune raison quâelle accueille des centaines de milliers de Brahim.
Pendant trĂšs longtemps, il Ă©tait interdit de dire quâil y avait un lien entre immigration et dĂ©linquance.
Pourtant, les faits ont toujours été là : les étrangers représentent une certaine part de la population, mais ils représentent une part plus importante de la délinquance.
Il nây a pas besoin dâaller plus loin.
Il y a donc un lien, qui nâest pas absolu, certes, mais qui est Ă©vident entre immigration et dĂ©linquance.
Et donc, statistiquement, pour chaque étranger accueilli en France, la délinquance moyenne augmente.
Câest exactement lâapproche que lâInstitut pour la Justice a eu en mai 2021.
A cette Ă©poque, nous publiions la premiĂšre Ă©tude chiffrĂ©e sur le lien entre immigration et dĂ©linquance, compilant des chiffres du ministĂšre de lâIntĂ©rieur et dâĂ©tudes sociologiques diffĂ©rentes.
Tout était sourcé, inattaquable.
Et notre étude faisait la Une du Figaro Magazine !
Vous ne vous en souvenez peut-ĂȘtre pas, mais Ă lâĂ©poque, elle faisait sauter un verrou dans le petit milieu mĂ©diatico-politique. On me lâa souvent dit depuis.
Et depuis, la vérité avance à pas de géant.
En 2020, 52 % des Français croyaient au lien entre immigration et dĂ©linquance. En 2024, câest 68 %...
Et les langues continuent à se délier.
Autre exemple : les étrangers qui représentent 7,4 % de la population française sont 24 % des détenus.
Une trÚs nette surreprésentation.
Mais en réalité, cela va beaucoup plus loin.
La semaine derniĂšre, Georges Fenech, magistrat et ami de lâInstitut pour la Justice, tĂ©moignait sur CNews :
« En réalité, dans les prisons françaises, vous avez 24 % d'étrangers et vous avez 60 % à 70 % de détenus d'origine immigrée. C'est l'échec de l'intégration. »
Dans toute lâEurope, les Ă©trangers, en particulier africains et moyen-orientaux, sont en moyenne beaucoup plus criminels que les EuropĂ©ens.
Voici ce que je révélais sur CNews le 29 janvier dernier :
- En Allemagne, les étrangers représentent 13 % de la population, mais 40 % des meurtriers.
- Aux Pays-Bas, les non-occidentaux sont 14 % de la population mais 61 % des auteurs de vols violents.
- En Italie, 8 % de la population est responsable de 40 % des suspects de viol.
La France a accueilli des millions dâimmigrĂ©s ces derniĂšres annĂ©es et câest un des pays qui a Ă©tĂ© le plus transformĂ© par lâimmigration.
Les Français sont dâaccord pour accueillir Lino Sousa, qui travaille, ne commet pas de dĂ©lit, est poli et intĂ©grĂ©.
Mais, les Français sont mille fois légitimes à refuser de devenir la poubelle de la planÚte.
Nous nâavons aucune raison dâaccueillir des (milliers de) dĂ©linquants, de terroristes, de dĂ©sĂ©quilibrĂ©s mentaux, etc. Et leurs enfantsâŠ
A cause de cette immigration massive et incontrÎlée, nos modes de vie changent : portes fermées à clé, cadenas sur les vélos, stress dans certains quartiers ou à certaines heures.
Pour un jeune homme de 30 ans comme moi, câest invivable.
Lâimmigration, avec le laxisme judiciaire, est la cause principale dâaugmentation de lâinsĂ©curitĂ© ces derniĂšres annĂ©es.
Jâai le droit de le dire, car câest la vĂ©ritĂ©.
Et la vérité a besoin de vous !
Cette semaine est cruciale pour lâIPJ car nous lançons notre opĂ©ration annuelle de carte de membre.
Tous les ans, au mois de mars, nous comptons le nombre de membres de lâIPJ.
Et chaque annĂ©e, câest le stress : dâabord car ce nombre est lâindicateur du soutien populaire Ă notre association. Mais aussi car, en fonction de ce nombre, nous pesons plus ou moins auprĂšs des dĂ©putĂ©s, des sĂ©nateursâŠ
Pour faire simple, Ă partir de 5 000 membres, nous pouvons espĂ©rer ĂȘtre reçus par les dĂ©putĂ©s âde droiteâ.
A partir de 10 000, les députés centristes sont parfois sensibles à nous recevoir.
Et pour ĂȘtre reçus par les ministres, il faut viser au moins 20 000 membres.
LâannĂ©e derniĂšre, nous Ă©tions Ă 11 543. Câest bien, mais encore beaucoup trop peu.
Pour devenir membre de lâIPJ, rien de plus simple : faites un don, QUEL QUE SOIT LE MONTANT.
DĂšs 1 ⏠de don, vous serez comptabilisĂ© comme membre de lâInstitut pour la Justice. Et vous recevrez votre carte de membre.
Cette possibilitĂ© vous est offerte jusquâĂ ce dimanche 2 mars Ă 23h59.
Soutenez notre combat maintenant, je vous en prie, FAITES UN DON en cliquant ici : soutenir.institutpourlajustice.org/
LâIPJ vit chichement, nous ne gaspillons pas un euro.
Chaque euro donnĂ© servira Ă faire avancer la cause, la cause de la Justice, de VOTRE sĂ©curitĂ©, et jâose le dire : la survie de la France.
Engagez-vous pour ce qui compte pour vous : soutenir.institutpourlajustice.org/
Avec tout mon dévouement,
Pierre-Marie SĂšve
Directeur de l'Institut pour la Justice
246 - 25
AVEZ-VOUS BIEN REĂU VOTRE CARTE DE MEMBRE 2025 ?
ChĂšre Madame, cher Monsieur,
Ce lundi, a dĂ©butĂ© le procĂšs du pire pĂ©docriminel de lâhistoire de France.
Pendant 30 ans, le chirurgien JoĂ«l Le Scouarnec a violĂ© et agressĂ© prĂšs de 300 enfantsâŠ
Il nâencourt pourtant que 20 ans de prison (quâil ne fera mĂȘme pas, je vous rassure).
Mais le pire est que tout au long de sa carriĂšre, le systĂšme (et notamment la Justice) AURAIT PU lâarrĂȘter. Mais rien nâa Ă©tĂ© fait.
En effet, cette affaire ignoble rĂ©vĂšle une faille BĂANTE, qui pourrait bien se renouveler...
312 victimes, 312 enfantsâŠ
AprĂšs une opĂ©ration de lâappendicite, Matthieu*, 10 ans, est placĂ© en salle de rĂ©veil.
Tandis quâil reprend trĂšs partiellement conscience, il subit un viol. Ses souvenirs ont beau ĂȘtre trĂšs flous, Matthieu est une des rares victimes de JoĂ«l Le Scouarnec Ă avoir des souvenirs du viol.
Quelques annĂ©es plus tard, le jeune adolescent tombait dans lâalcool et la drogue pour noyer son mal-ĂȘtre.
Ses grand-parents témoignent au Figaro : « Il a complÚtement détruit notre petit-fils, comme il a détruit les autres ».
Comme Matthieu, ce sont plus de 300 enfants dont la vie a Ă©tĂ© gĂąchĂ©e par JoĂ«l Le Scouarnec libre dâagir pendant presque 30 ans.
Tout lâOuest de la France est touchĂ©
AprĂšs avoir rĂ©ussi sa mĂ©decine dans les annĂ©es 1980, câest en Bretagne que JoĂ«l Le Scouarnec sâinstalle : Nantes, Vannes, Lorient, QuimperlĂ©.
LĂ , lâhomme dĂ©couvre quâil possĂšde, en tant que chirurgien, une grande libertĂ© dâaction.
En effet, aprĂšs avoir opĂ©rĂ© des enfants de lâappendicite, il lui suffit de profiter de lâanesthĂ©sie pour abuser dâeuxâŠ
Les faits sont absolument immondes. Il viole des enfants dans les salles de rĂ©veil, et jusque sur la table dâopĂ©ration.
On compte au moins 312 victimes connues.
Mais, la principale difficulté du dossier est que la quasi-totalité des victimes n'ont pas souvenir des viols.
Ce qui complique la tĂąche de la police.
Pendant des années, il va donc violer en toute impunité.
Puis, un renseignement capital tombeâŠ
Le monstre se trahit !
En 2004, soit déjà prÚs de 20 ans aprÚs les premiers faits, Joël Le Scouarnec est trÚs confiant.
Au point quâil achĂšte des images pĂ©dopornographiques sur des sites illĂ©gaux.
Et là , le FBI américain en a vent. Le FBI a détecté au moins 3 achats sur ces sites, et prévient la police française.
Câest potentiellement la fin pour cet immonde criminel.
LâenquĂȘte française confirme quâil possĂšde bien des images illĂ©gales et il est renvoyĂ© vers le tribunal correctionnel.
Mais JoĂ«l Le Scouarnec, pĂ©dophile dĂ©sormais avĂ©rĂ©, nâest condamnĂ© quâà ⊠4 mois de prison avec sursis !
Alors lĂ , câest sĂ»r, il nâa plus du tout peur de la Justice française !!
Cerise sur le gĂąteau, le tribunal âoublieâ de transmettre lâinformation Ă lâordre des mĂ©decins !! Pendant plusieurs mois lâinformation n'apparaĂźt mĂȘme pas sur son casier judiciaire.
JoĂ«l Le Scouarnec en profite donc pour tranquillement quitter lâhĂŽpital de Lorient pour celui de QuimperlĂ©, dans le FinistĂšreâŠ
OĂč il pourra continuer ses agissements, plus confiant que jamais en la faiblesse de notre systĂšmeâŠ
Dâailleurs, mĂȘme une fois mis au courant, lâordre des mĂ©decins et le ministĂšre de la santĂ© nâont rien trouvĂ© de rĂ©prĂ©hensible Ă ses agissements, considĂ©rant quâil sâagit dâun mĂ©decin « sĂ©rieux et compĂ©tent ».
Ils nâouvrent aucune procĂ©dure disciplinaire, et ce malgrĂ© plusieurs alertes de ses confrĂšres mĂ©decins.
Il faudra donc 13 ans de plus avant quâenfin ce monstre soit stoppĂ©âŠ
Des dizaines de âcarnets de lâhorreurâ...
Câest finalement en avril 2017 quâune petite fille de 6 ans dĂ©nonce Ă ses parents des faits dâexhibition sexuelle de la part de ce voisin.
LĂ , la police remonte la chaĂźne. Suite Ă des perquisitions, elle dĂ©couvre chez lui des dizaines de preuves, dont des carnets⊠de lâhorreur.
Depuis des années, Le Scouarnec notait ses viols, et ses réflexions, etc. Il y cite plus de 200 enfants.
Il ne montre AUCUN remord, il y revendique ses crimes et se considÚre comme un militant politique de la pédophilie.
Selon un psychiatre judiciaire, il a un sentiment de toute-puissance, consĂ©quence de lâimpunitĂ©.
Je vous pose la question : est-ce un hasard si la plus grande affaire de pĂ©dophilie de la France contemporaine a lieu aujourdâhui ? Ă lâheure oĂč le laxisme judiciaire est le plus virulent ?
Il faut dire STOP. Il faut rendre justice Ă ces victimes et il faut en Ă©viter dâautres.
Alors, dites STOP !!
En 2025, prenez votre carte de membre Ă lâIPJ
Le laxisme judiciaire est une des plus grandes causes de morts, de viols ou dâagressions.
Câest un flĂ©au qui dĂ©truit notre tranquillitĂ© et qui parfois dĂ©truit nos vies. Oui, je le sais, la lutte est difficile, parfois inĂ©gale, mais elle peut ĂȘtre gagnĂ©e et il faut la mener.
Et voyez-vous, je ne connais pas dâautre association que lâInstitut pour la Justice dont le seul but est de lutter contre le laxisme.
A lâIPJ, nous le faisons dâailleurs par tous les moyens possibles : du matin au soir, mon Ă©quipe rencontre des experts du monde judiciaire, des victimes, des Ă©lus.
Notre délégué général, Pierre-Marie SÚve, intervient autant que possible dans les médias pour se faire entendre, tÎt le matin, tard le soir ou encore le dimanche.
LâĂ©tĂ© dernier, il a passĂ© ses vacances sur CNews, invitĂ© prĂšs dâ1 jour sur 2 dans lâĂ©mission Face Ă lâInfo.
Il ne sâagit pas de se fĂ©liciter de passer dans les mĂ©dias, mais de se rĂ©jouir dâoccuper le terrain.
Nous publions aussi de nombreux travaux dâexperts, pour quâils aient une chance dâĂȘtre entendus et repris dans les mĂ©dias. En janvier dernier, nous avons publiĂ© une Ă©tude dans le Figaro prouvant que les juges ne prononcent des peines quâĂ 19 % de ce qui est prĂ©vu par le code pĂ©nal.
Et 2 autres Ă©tudes vont paraĂźtre trĂšs prochainement : sur la criminalitĂ© des ressortissants afghans, et sur le systĂšme judiciaire hollandais, beaucoup moins laxiste que le systĂšme françaisâŠ
En 2024, nous avons rĂ©ussi Ă publier notre Revue Française de Criminologie et de Droit PĂ©nal sur cairn.com, la rĂ©fĂ©rence des revues universitaires. Des milliers dâĂ©tudiants la consultent et rĂ©flĂ©chissent en dehors de la « bien-pensance » âŠ
LâIPJ est une force dâargumentation et de propositions pour de nombreux dĂ©putĂ©s qui font appel Ă nous. Ce matin encore, nous avons transmis Ă la dĂ©putĂ© RN Edwige Diaz, une proposition de loi pour expulser automatiquement les narcotrafiquants Ă©trangers.
Les moins combatifs me disent que nous faisons cela en vain. Ce nâest pas vrai, nous diffusons nos idĂ©es, nous occupons le terrain. Câest un travail de longue haleine, mais il portera du fruit, je nâai aucun doute.
Pour beaucoup de parlementaires ou dâacteurs du monde judiciaire, câest une surprise de voir lâIPJ. Ils nâont pas lâhabitude de voir des gens se battre pour les victimes et pour la protection de la population.
Nous nous battons pour tous les Français.
Et tout ce travail nâexisterait pas si VOUS n'Ă©tiez pas lĂ pour nous donner les moyens de le faire.
Alors je vous en prie, aidez-moi Ă remuer ciel et terre cette annĂ©e pour poursuivre le combat et refuser que les Français soient sacrifiĂ©s sur lâautel des bons sentiments.
Vous ĂȘtes trĂšs sollicitĂ©s par de nombreux organismes et je comprends bien que vous voulez tous les aider. Il vous est probablement difficile de choisir entre tous les combats et câest bien normal.
Malheureusement, cela sâen ressent Ă lâIPJ. Nous ne recevons aucune subvention publique, seuls vos dons nous permettent de travailler.
LâIPJ est le seul mouvement de citoyens qui se bat pour dĂ©fendre le droit face Ă la sauvagerie. Aussi, je vous demande de prendre votre carte de membre 2025 en faisant un DON MENSUEL en cliquant ici : soutenir.institutpourlajustice.org/b/mon-don
JâespĂšre de tout cĆur pouvoir compter sur votre soutien.
Notre poids et notre efficacitĂ© ne dĂ©pendent que de vous, câest pourquoi jâespĂšre vraiment que vous allez prendre votre carte de membre 2025 de lâInstitut pour la Justice. Jâai besoin de vous Ă mes cĂŽtĂ©s.
JE FAIS UN DON : soutenir.institutpourlajustice.org/b/mon-don
Avec tout mon dévouement et mes sincÚres remerciements,
Axelle Theillier
Présidente de l'Institut pour la Justice
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âNON Ă un nouveau ministre de la Justice LAXISTE !
đłïžSignez la pĂ©tition : petition.institutpourlajustice.org/non-a-un-autre-âŠ
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L'Institut pour la Justice, association loi de 1901, a été créé au printemps 2007 par un groupe de citoyens responsables et indépendants pour promouvoir une justice plus protectrice des citoyens et plus équitable pour les victimes, conditions indispensables au maintien de la paix sociale et civile. Préoccupés par les dysfonctionnements qui affaiblissent l'institution judiciaire, les membres de l'Institut pour la Justice défendent le respect des libertés fondamentales, au premier rang desquelles la protection contre toute forme d'atteinte à l'intégrité physique des personnes et d'atteinte aux biens.
L'Institut pour la Justice apporte aux victimes un soutien psychologique, moral et éventuellement matériel. ParallÚlement, il propose des réformes aux décideurs politiques en faveur d'une justice pénale équitable, responsable et indépendante.
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