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RUBIS RED @UCCTAfurlUNZ9x66INOUHVHw@youtube.com

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RUBIS RED


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BAYONNE- BIARRITZ

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ARCACHON

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Lorsque dans ta vie rien ne va plus, que les problĂšmes tourmentent ton esprit et que l'argent te cause tant de soucis... Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas. Lorsque trop d'erreurs ont Ă©tĂ© commises, que tout ton univers menace de s'Ă©crouler et que, fatiguĂ©, tu sens la confiance t'abondonner Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas. Tu sais, la vie est parfois Ă©trange, avec son lot de surprises et d'imprĂ©vus. Et il ne nous est pas donnĂ© de savoir Ă  l'avance combien d'Ă©tapes nous devrons franchir ni combien d'obstacles nous devrons surmonter avant d'atteindre le bonheur, la rĂ©ussite. Combien de gens ont malheureusement cessĂ© de lutter alors qu'il n'aurait peut-ĂȘtre fallu qu'un petit pas de plus pour transformer un Ă©chec en rĂ©ussite? Et, pourtant, un pas Ă  la fois n'est jamais trop difficile. Tu dois donc avoir le courage et la tĂ©nacitĂ© nĂ©cessaires pour faire ce petit pas de plus, en affirmant que la vie est une grande et puissante amie qui se tient toujours Ă  tes cĂŽtĂ©s, prĂȘte Ă  te porter secours. Tu verras alors que cette attitude appellera, du plus profond de toi-mĂȘme, des forces de vie que tu ne soupçonnais mĂȘme pas et qui t'aideront Ă  rĂ©aliser ce que tu entreprendras. Mais, surtout et avant tout, rappelle-toi bien : Quand dans ta vie, des moments difficiles viendront REPOSE-TOI S'IL LE FAUT, MAIS N'ABANDONNE SURTOUT PAS !

RUBIS RED
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D’avoir toujours la clope au bec J’en ai ma claque, demain j’arrĂȘte ; J’vais claper une tonne de bonbecs Mais vaut mieux ça qu’la cigarette. Sal’tĂ© d’odeur de tabac froid dans la bagnole ou bien chez moi ; Tous ces mĂ©gots dans l’cendrier tout ça s’ra bien vite oubliĂ©. J’pourrai aussi m’remettre au sport parce que la santĂ© ça vaut d’l’or ; Comme au temps oĂč j’buvais qu’de l’eau bien moins refouler du goulot. J’aurai les poumons d’un enfant, j’irai gambader dans les champs, J’me sentirai serein, tout neuf, comme un poussin qui sort de l’Ɠuf. Je s’rai tout fier et tout content d’retrouver l’goĂ»t des aliments, Et d’ redĂ©couvrir la nature et mĂȘme les odeurs des oeufs durs. D’avoir toujours la clope au bec J’en ai ma claque, demain j’arrĂȘte ; J’vais claper une tonne de bonbecs Mais vaut mieux ça qu’la cigarette. Fini la main au porte-monnaie pour aller chercher mon paquet, Fini pour moi les dix pour cent tous les lend’mains des jours de l’an. Bien fini pendant les soirĂ©es d’sortir pour aller bombarder, D’me faire accoster dans la rue et d’mentir que « non, j’en ai plus
 » Demain j’arrĂȘte, promis-juré j’vais m’le rĂ©pĂ©ter tous les jours Jusqu’au jour oĂč mĂȘme de fumer c’en s’ra terminĂ© pour toujours
 Mais quand j’mont’rai au Paradis ce s’ra un sacrĂ© jour de fĂȘte : LĂ -haut elles coĂ»tent pas un radis tout’s ces salop’ries d’cigarettes. Demain j’arrĂȘte 
Demain j’arrĂȘte
Mais j’y arriverai jamais
 Mais putain de bordel
 quel enfer
patches de merde
 Et saletĂ© de lepen ta haine Carre-toi la au cul ! Robert Basquin

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LE TEMPS QUI RESTE

RUBIS RED
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Il y a celui sur la main La main qu’on prend du bout des doigts Bien Ă©levĂ©, poli, serein, Mais qui peut s’avĂ©rer sournois. Il y a celui sur le nez Qui s’amuse Ă  jouer l’innocent
 Il sait comment se retourner Si on le trouvait indĂ©cent. Il y a celui sur la joue PlacĂ© tout prĂšs du coin des lĂšvres Sans faire exprĂšs
mais ce filou S’y connaĂźt pour monter la fiĂšvre. Il y a celui sur la bouche Il demande Ă  prendre son temps
 Il commence Ă  trouver ça louche Quand il doit prendre son Ă©lan. Mais le plus doux C’est celui sur les yeux. De ce bisou On en fait au moins deux
 Il y a celui sur le front Celui qui se veut solennel ; Il est posĂ© comme un pardon D’oĂč pourraient nous pousser des ailes. Il y a celui dans le cou Celui-lĂ  se croit tout permis Qui nous fait des frissons partout Et dont les mains sont les amies. Il y a celui sur les bords Celui qui fait semblant de rien
 Il voudrait en avoir encore Et se consume en va et vient. Il y a celui sur le cƓur C’est celui-lĂ  le plus malin
 Il sait diffuser la chaleur Et la transformer en cĂąlin. Mais le plus doux C’est celui sur les yeux. De ce bisou On en a au moins deux
 ROBERT BASQUIN

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Je veux t’offrir des fleurs, Des fleurs
Oui, mais lesquelles ? Et la forme et l’odeur Un problĂšme essentiel. Je veux t’offrir des fleurs A toi qui les connais Toi qui sais des couleurs La cause et les effets. Pour toi qui es la Femme, La plus belle entre toutes, Je vis toujours un drame Quand j’ai le moindre doute. Aussi moi comme un homme, Un expert en faiblesses, J’ai du courage en somme Et trop de maladresses
 Je veux t’offrir des fleurs, Pas forcĂ©ment des roses, Et tant pis si j’ai peur Il faudra bien que j’ose. Je vais t’offrir des fleurs, J’y suis bien dĂ©cidĂ©, Aurai-je tout Ă  l’heure Une meilleure idĂ©e ? Voici des orchidĂ©es, Je sais que tu les aimes, J’ai aussi dans l’idĂ©e De t’écrire un poĂšme
 Un poĂšme oĂč j’aurai Le talent de t’écrire Les mots que je connais Que je ne sais pas dire. ROBERT BASQUIN

RUBIS RED
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JOYEUSES FÊTES !

RUBIS RED
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Aimons toujours ! aimons encore ! Quand l’amour s’en va, l’espoir fuit. L’amour, c’est le cri de l’aurore, L’amour, c’est l’hymne de la nuit. Ce que le flot dit aux rivages, Ce que le vent dit aux vieux monts, Ce que l’astre dit aux nuages, C’est le mot ineffable : Aimons ! L’amour fait songer, vivre et croire. Il a, pour rĂ©chauffer le cƓur, Un rayon de plus que la gloire, Et ce rayon, c’est le bonheur ! Aime ! qu’on les loue ou les blĂąme, Toujours les grand cƓurs aimeront : Joins cette jeunesse de l’ñme À la jeunesse de ton front ! Aime, afin de charmer tes heures ! Afin qu’on voie en tes beaux yeux Des voluptĂ©s intĂ©rieures Le sourire mystĂ©rieux ! Aimons-nous toujours davantage ! Unissons-nous mieux chaque jour. Les arbres croissent en feuillage ; Que notre Ăąme croisse en amour ! Soyons le miroir et l’image ! Soyons la fleur et le parfum ! Les amants, qui, seuls sous l’ombrage, Se sentent deux et ne sont qu’un ! Les poĂštes cherchent les belles. La femme, ange aux chastes faveurs, Aime Ă  rafraĂźchir sous ses ailes Ces grand fronts brĂ»lants et rĂȘveurs. Venez Ă  nous, beautĂ©s touchantes ! Viens Ă  moi, toi, mon bien, ma loi ! Ange ! viens Ă  moi quand tu chantes, Et, quand tu pleures, viens Ă  moi ! Nous seuls comprenons vos extases ; Car notre esprit n’est point moqueur ; Car les poĂštes sont les vases OĂč les femmes versent leur cƓur. Moi qui ne cherche dans ce monde Que la seule rĂ©alitĂ©, Moi qui laisse fuir comme l’onde Tout ce qui n’est que vanitĂ©, Je prĂ©fĂšre aux biens dont s’enivre L’orgueil du soldat ou du roi, L’ombre que tu fais sur mon livre Quand ton front se penche sur moi. Toute ambition allumĂ©e Dans notre esprit, brasier subtil, Tombe en cendre ou vole en fumĂ©e, Et l’on se dit : « Qu’en reste-t-il ? » Tout plaisir, fleur Ă  peine Ă©close Dans notre avril sombre et terni, S’effeuille et meurt, lis, myrte ou rose, Et l’on se dit : « C’est donc fini ! » L’amour seul reste. Ô noble femme, Si tu veux dans ce vil sĂ©jour, Garder ta foi, garder ton Ăąme, Garder ton Dieu, garde l’amour ! Conserve en ton cƓur, sans rien craindre, Dusses-tu pleurer et souffrir, La flamme qui ne peut s’éteindre Et la fleur qui ne peut mourir ! VICTOR HUGO

RUBIS RED
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Dans le dĂ©tail Se situe l’élĂ©gance
 Tu sais mes failles Je sais tes prĂ©fĂ©rences ; Mais nous hĂąter C’est d’abord mettre un terme Et nous gĂąter Dans tous les sens du terme
 Tu me tendresses Et moi je t’impatiente
 C’est la promesse De l’amant Ă  l’amante. Chez nous ce soir Cette odeur d’avant-goĂ»t Qui m’en fait voir Qui va me rendre fou ; Dans la balance Succomber au prĂ©sent Ou connivences Et regards pĂ©nĂ©trants. Tendresse-moi Que moi je t’impatiente Ça fait la joie Des amants des amantes. Pourtant ce soir Je sens mon Ă©lĂ©gance Comme illusoire Et sous peu sans dĂ©fense ; M’en voudras -tu Si je cĂšde au dĂ©sir ? Moment venu
 Toi aussi tu soupires. Tu me tendresses Et moi je t’impatiente
 Mais le temps presse Pour l’amant et l’amante. Basquin, Robert. EGOGRAPHIE - Oesophage (French Edition)