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La âTribuneâ de Bougane : manipulation et dĂ©sinformation en continu
Comme Ă son habitude, le quotidien La Tribune, dirigĂ© par Bougane, persiste dans son jeu favori : la manipulation. Aujourdâhui, Ă travers sa une, ce journal tente subtilement de suggĂ©rer une prĂ©tendue perte de 400 000 voix par le PASTEF par rapport aux rĂ©sultats des derniĂšres Ă©lections prĂ©sidentielles. Cette dĂ©sinformation a dâailleurs Ă©tĂ© reprise par un naufragĂ© des Ă©lections lĂ©gislatives, Abdoul Mbaye, pour ne pas le nommer, dans une vaine tentative de ternir la victoire Ă©clatante du PASTEF.
DâentrĂ©e, il est essentiel de prĂ©ciser que les types dâĂ©lections et les taux de participation ne sont pas comparables. MalgrĂ© ces diffĂ©rences, les rĂ©sultats rĂ©vĂšlent une progression notable par rapport aux Ă©lections lĂ©gislatives prĂ©cĂ©dentes.
En effet, au SĂ©nĂ©gal, les Ă©lections lĂ©gislatives enregistrent un taux de participation moyen de 46 %. Cette annĂ©e, il a grimpĂ© Ă 49,72 %, tĂ©moignant dâun regain dâintĂ©rĂȘt. De plus, une analyse dĂ©taillĂ©e des rĂ©sultats montre que le PASTEF a remportĂ© 40 des 46 dĂ©partements du pays. MĂȘme dans les six dĂ©partements oĂč il nâa pas gagnĂ©, les rĂ©sultats affichent une progression significative.
Prenons le cas du département de Podor : lors des élections présidentielles, le PASTEF avait obtenu 10 941 voix contre 117 001 pour BBY. Cette fois-ci, le score est monté à 21 641 voix pour le PASTEF contre 41 349 pour Amadou Ba. à Ranérou Ferlo, BBY avait 12 576 voix contre seulement 1 239 pour le PASTEF. Huit mois plus tard, le PASTEF a réalisé une percée avec 5 550 voix contre 8 239 pour Takku Walu.
Dans le dĂ©partement de LinguĂšre, oĂč BBY avait obtenu 42 782 voix contre 22 449 pour le PASTEF, ce dernier a rĂ©ussi une remontĂ©e exceptionnelle, obtenant 29 096 voix contre 21 991 pour BBY.
De plus, plusieurs départements stratégiques ont basculé en faveur du PASTEF, notamment Fatick, Bakel, Foundiougne, Médina Yoro Foulah, Salémata, Kédougou, et Dagana, pour ne citer que ceux-là . Ces succÚs confirment la percée indéniable du leader Ousmane Sonko lors de ces élections législatives.
Nous comprenons que cette dĂ©faite ait Ă©tĂ© difficile Ă digĂ©rer pour certains, mais nous invitons ces brebis Ă©garĂ©es Ă rejoindre le troupeau avant quâil ne soit trop tard. Sinon, quâelles aillent mĂ©diter leur dĂ©sarroi avec leur collĂšgue aigri, en retrait, Ă observer la danse des opportunistes. Câest toujours mieux que de polluer le dĂ©bat public avec des raisonnements biaisĂ©s et des hypothĂšses farfelues.
Serigne Mor Bousso
Coordinateur de la JPS Dakar
Membre du cabinet politique de Ousmane Sonko
364 - 10
Cher Ibou Fall, la question est simple : quâavez-vous fait, concrĂštement, pour le SĂ©nĂ©gal ?
Puisque vous semblez si prompt Ă distribuer des critiques acerbes, il est lĂ©gitime de poser une question fondamentale : quâavez-vous accompli, vous-mĂȘme, pour mĂ©riter cette position de donneur de leçons ?
Le PrĂ©sident Bassirou Diomaye Faye, le Premier ministre Ousmane Sonko et les dĂ©putĂ©s rĂ©cemment Ă©lus, quâils soient parfaits ou non, ont le mĂ©rite de porter sur leurs Ă©paules la lourde responsabilitĂ© de transformer le SĂ©nĂ©gal. Ce sont des hommes et des femmes dâaction, qui affrontent les dĂ©fis complexes dâun pays en quĂȘte de progrĂšs. Ils prennent des dĂ©cisions, assument des risques et se battent, parfois contre vents et marĂ©es, pour tracer un chemin vers un avenir meilleur.
Et vous, M. Fall ? Votre contribution au SĂ©nĂ©gal se limite-t-elle Ă manier des mots qui dĂ©peignent un tableau sombre et cynique ? Ă moquer les valeurs familiales et la culture dâhumilitĂ© qui sont pourtant les piliers de notre identitĂ© nationale ? Ă rabaisser des millions de SĂ©nĂ©galais en les enfermant dans des statistiques dâanalphabĂ©tisme, sans jamais proposer de solutions concrĂštes ?
Le SĂ©nĂ©gal nâa pas besoin de spectateurs blasĂ©s qui, depuis les tribunes, tournent en dĂ©rision les efforts de ceux qui sâengagent pour le bien commun. Ce pays a besoin de bĂątisseurs, dâacteurs engagĂ©s, de critiques constructifs. Il a besoin de citoyens capables de reconnaĂźtre les efforts des autres et de contribuer, Ă leur maniĂšre, Ă lâamĂ©lioration de notre condition collective.
Alors, cher Ibou Fall, la question est simple : quâavez-vous fait, concrĂštement, pour le SĂ©nĂ©gal ?
Quelles solutions avez-vous proposées ? Quels sacrifices avez-vous consentis pour ce pays que vous semblez si prompt à juger ?
Avant de distribuer des leçons, il serait peut-ĂȘtre temps de descendre de ce piĂ©destal ironique que vous semblez occuper. Apportez des solutions tangibles, engagez-vous pour le bien de cette nation et montrez, par vos actes, votre dĂ©vouement Ă notre peuple. Ce nâest quâĂ ce moment-lĂ que vos critiques pourront prĂ©tendre Ă une certaine lĂ©gitimitĂ©.
Avec exigence et responsabilité,
Dr IsmaĂŻla Diallo
Coordonnateur dĂ©partemental du Pastef â GuinguinĂ©o
400 - 7
La victoire qui nous engage : un appel au devoir patriotique !
Le SĂ©nĂ©gal a Ă©crit ce 17 novembre 2024 une page mĂ©morable de son histoire. La victoire Ă©crasante du PrĂ©sident Ousmane SONKO et de PASTEF les Patriotes lors des lĂ©gislatives transcende le simple cadre dâun succĂšs Ă©lectoral : elle est lâexpression dâune volontĂ© populaire de rupture, de justice et de dignitĂ©. Câest un appel vibrant Ă lâaction, une invitation Ă rĂ©inventer notre destin collectif. « Chaque victoire porte en elle les germes de nouvelles responsabilitĂ©s », disait Nelson Mandela
Mais cette victoire impose aussi des responsabilitĂ©s immenses. Elle nous rappelle, comme lâa dit le PrĂ©sident Ousmane SONKO lui-mĂȘme, que « gouverner, câest servir et non se servir".
Câest dans cet esprit que nous, patriotes sĂ©nĂ©galais, devons accueillir ce triomphe. Car, comme le disait Antoine de Saint-ExupĂ©ry, « ĂȘtre homme, c'est sentir, en posant sa pierre, que l'on contribue Ă bĂątir le monde ».
Ce succĂšs est avant tout celui dâun peuple qui sâest levĂ©, dâun peuple qui a dit « non » Ă la rĂ©signation et « oui » Ă lâespoir. Mais comme lâa rappelĂ© le PrĂ©sident Ousmane SONKO :« Une victoire nâa de sens que si elle se traduit par des changements rĂ©els dans la vie des citoyens. »
Câest donc un engagement collectif qui commence aujourdâhui. Ce que nous avons accompli ensemble aux urnes doit maintenant se concrĂ©tiser dans une gouvernance juste, transparente et au service de tous. LâĂ©crasante victoire de ce jour est une preuve Ă©clatante de notre capacitĂ© Ă nous unir autour des valeurs de patriotisme et de solidaritĂ©. Cependant, elle nous oblige Ă ne pas cĂ©der Ă lâeuphorie stĂ©rile. Cette victoire nâest pas une fin en soi, mais un commencement. Elle nous demande de transcender nos diffĂ©rences pour bĂątir un SĂ©nĂ©gal meilleur.
Le PrĂ©sident Ousmane SONKO a souvent insistĂ© sur lâimportance de rester fidĂšle aux principes : « Nous devons gouverner avec lâĂ©thique comme boussole et lâintĂ©rĂȘt du peuple comme unique prioritĂ©. »
Lâheure est Ă lâeffort, au courage et Ă la rĂ©silience. Il ne sâagit pas seulement de gagner des Ă©lections, mais de mĂ©riter la confiance du peuple jour aprĂšs jour, Ă travers des actes concrets et porteurs dâespoir. La tĂąche est immense, mais elle est Ă notre portĂ©e, Ă condition que nous restions unis et dĂ©terminĂ©s. Comme lâĂ©crivait Albert Camus : « La vraie gĂ©nĂ©rositĂ© envers lâavenir consiste Ă tout donner au prĂ©sent. »
Cette victoire nâappartient pas seulement Ă un parti ou Ă un leader. Elle est celle de tous les SĂ©nĂ©galais, des villes aux campagnes, des jeunes aux aĂźnĂ©s, de toutes les confessions et sensibilitĂ©s. Elle est un message puissant : nous sommes unis dans notre diversitĂ© et portĂ©s par une mĂȘme ambition pour notre pays.
Il est temps de tendre la main Ă tous ceux qui hĂ©sitent encore, de dialoguer avec ceux qui doutent, de construire avec ceux qui rĂ©sistent. Le SĂ©nĂ©gal que nous voulons ne se fera pas dans lâexclusion, mais dans la co-construction.
La victoire de PASTEF les Patriotes, câest aussi la victoire de la conscience citoyenne. Câest un rappel que chaque voix compte, que chaque citoyen a son rĂŽle Ă jouer. Chacun de nous est dĂ©sormais le gardien de cette espĂ©rance, le garant de cette transformation.
Alors, compatriotes, restons debout. Restons unis. Restons fidĂšles Ă ce serment collectif. Travaillons ensemble pour un SĂ©nĂ©gal qui nâabandonne aucun de ses fils et qui ouvre les bras Ă lâavenir avec dignitĂ© et fiertĂ©. « Lâavenir nâest pas ce qui va arriver, mais ce que nous allons faire », disait Henri Bergson.
Cette victoire Ă©crasante nous engage. Elle nous appelle Ă rĂȘver grand et Ă agir avec force. Ce jour marque le dĂ©but dâune renaissance sĂ©nĂ©galaise, et nous sommes tous les acteurs de cette histoire en marche.
Ibrahima DIOP
Professeur certifié de classe normale (Economie- Gestion : option comptabilité et finance) au Lycée Montgrand à Marseille.
Coordinateur de la Section de Pastef Nice CĂŽte dâazur
Vice-président du Commissariat Bonne Gouvernance Patriotisme et Citoyenneté (MONCAP DIASPORA)
Membre de lâAssemblĂ©e GĂ©nĂ©rale de Pastef France.
Ibrahima.Diop@ac-nice.fr
Ibrahima.Diop@ac-aix-marseille.fr
223 - 4
" Rendons Ă SONKO ce qui est Ă SONKO"
La victoire dâun homme, lâespoir dâun peuple !
Le 17 novembre 2024 restera Ă jamais gravĂ© dans lâhistoire comme le jour oĂč le peuple sĂ©nĂ©galais a choisi de faire triompher ses valeurs, sa dignitĂ© et son avenir. Mais derriĂšre cette victoire Ă©crasante de PASTEF les Patriotes, il y a un homme : le PrĂ©sident Ousmane SONKO, un leader exceptionnel, un patriote inĂ©branlable, un visionnaire dĂ©terminĂ©. « Seule une nation qui se lĂšve peut conquĂ©rir son avenir », disait-il.
En incarnant le courage face Ă lâadversitĂ©, la droiture face Ă la corruption et la vĂ©ritĂ© face aux mensonges, le PrĂ©sident Ousmane SONKO est devenu bien plus quâun leader politique : il est lâespoir incarnĂ© dâun SĂ©nĂ©gal meilleur.
Cette victoire, câest celle de son combat inlassable pour un pays juste et prospĂšre. Câest celle de sa capacitĂ© Ă rassembler un peuple autour dâun idĂ©al commun. Câest celle dâun homme qui a prouvĂ© que la politique pouvait encore ĂȘtre au service du peuple.
Ă travers ses discours et ses actions, le PROS a su prouver quâil est possible de faire de la politique autrement, avec lâĂ©thique comme boussole et le peuple comme prioritĂ© absolue. Comme lâĂ©crivait lâĂ©crivain britannique George Orwell : « Dans une Ă©poque de supercherie universelle, dire la vĂ©ritĂ© est un acte rĂ©volutionnaire ».
Le PrĂ©sident Ousmane SONKO a toujours choisi la vĂ©ritĂ©, mĂȘme lorsque cela signifiait sâexposer Ă des persĂ©cutions et des calomnies. Son courage face Ă lâadversitĂ© est devenu une source dâinspiration pour des millions de SĂ©nĂ©galais. En refusant de plier devant les puissants, il a montrĂ© que la droiture et la rĂ©silience pouvaient triompher de lâinjustice. « Vous pouvez briser mon corps, mais jamais ma conviction », a-t-il dĂ©clarĂ© un jour avec force.
En suivant cet idĂ©al, il sâinscrit dans la lignĂ©e des grands leaders mondiaux qui ont changĂ© le cours de lâhistoire. Nelson Mandela, dans un de ses discours les plus mĂ©morables, disait :« Je ne suis pas un saint, Ă moins que vous pensiez quâun saint est un pĂ©cheur qui ne cesse jamais dâessayer ».
Ă lâimage de MANDELA, SONKO est un homme qui ne cesse jamais dâessayer. Il nâa jamais cĂ©dĂ© Ă la tentation de lâamertume, mĂȘme face aux injustices quâil a subies. Il a transformĂ© les Ă©preuves en force, et les attaques en carburant pour continuer son combat.
Le leadership du PrĂ©sident Ousmane SONKO ne se limite pas Ă des mots, mais sâincarne dans une vision claire pour le SĂ©nĂ©gal : une gouvernance transparente, un dĂ©veloppement Ă©quitable et une justice sociale pour tous. « Le SĂ©nĂ©gal ne pourra avancer que si nous mettons fin aux inĂ©galitĂ©s et rĂ©concilions notre peuple avec lui-mĂȘme. La politique doit ĂȘtre un outil de transformation, pas un moyen dâenrichissement », disait-il.
Son engagement rappelle les paroles de John F. Kennedy : « Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, demandez ce que vous pouvez faire pour votre pays. »
SONKO a toujours insistĂ© sur lâimportance de lâimplication citoyenne. Sa victoire nâest pas celle dâun homme seul, mais celle dâun peuple uni autour dâune ambition commune.
Tout au long de son parcours, SONKO a Ă©tĂ© confrontĂ© Ă des forces puissantes qui cherchaient Ă Ă©touffer son message. Mais comme lâĂ©crivait Ryan Holiday: « Lâobstacle est le chemin. »
PlutĂŽt que de reculer, il a fait face avec audace. En dĂ©nonçant les injustices, les corruptions et les abus, il sâest affirmĂ© comme la voix des sans-voix. Il est devenu un symbole dâespoir pour ceux qui pensaient que le systĂšme Ă©tait immuable. "Quand vous refusez de vous agenouiller devant les oppresseurs, vous inspirez des millions Ă se lever ", a-t-il dĂ©clarĂ© lors dâun de ses discours.
Enfin, la victoire du PrĂ©sident Ousmane SONKO dĂ©passe les frontiĂšres du SĂ©nĂ©gal. Elle rappelle Ă lâAfrique et au monde entier quâun leadership intĂšgre et courageux peut encore triompher. Comme lâa Ă©crit lâauteur amĂ©ricain James Baldwin : « Ceux qui disent que le changement est impossible se tiennent toujours du cĂŽtĂ© des oppresseurs ».
Aujourdâhui, nous cĂ©lĂ©brons la victoire dâun homme exceptionnel, mais aussi le dĂ©but dâune nouvelle Ăšre pour notre nation. Merci, PrĂ©sident SONKO, pour votre courage, votre vision et votre foi inĂ©branlable en « le SĂ©nĂ©gal ».
" Rendons alors Ă SONKO ce qui est Ă SONKO "
Ibrahima DIOP
Professeur certifié de classe normale (Economie- Gestion : option comptabilité et finance) au lycée Montgrand à Marseille.
Coordinateur de la Section de Pastef Nice CĂŽte dâazur
Vice-président du Commissariat Bonne Gouvernance Patriotisme et Citoyenneté (MONCAP DIASPORA)
Membre de lâAssemblĂ©e GĂ©nĂ©rale de Pastef France.
Ibrahima.Diop@ac-nice.fr
Ibrahima.Diop@ac-aix-marseille.fr
1.8K - 24
« Calméwou! »
LâidĂ©e de voir Ousmane Sonko PrĂ©sident de lâAssemblĂ©e nationale est de plus en plus agitĂ©e par certains observateurs de la scĂšne politique.
Jâaime beaucoup Ă©couter les analyses pertinentes de Maurice Soudieck Dione et son admirable Ă©loquence. Câest un politiste hors pair pour qui je voue beaucoup de respect et dâadmiration.
Toutefois, concernant la future fonction de lâactuel PM, je pense contrairement Ă lui, quâOusmane Sonko doit rester au cĆur de lâExĂ©cutif.
Ce risque de dyarchie que redoute M. Dione sera à mon avis plus élevé en cas de « séparation des pouvoirs » du tandem.
Cette dualitĂ© quâon a eu entre Senghor et Mamadou Dia ou quand Wade sâest vu obliger de faire voter une loi qui a raccourci la durĂ©e du mandat du PrĂ©sident de lâAssemblĂ©e nationale pour faire partir Macky SALL, a plus de risque de sâinstaller quand les deux leaders se retrouveront lâun avec le pouvoir exĂ©cutif et lâautre Ă la tĂȘte du parlement. Ils ne pourront plus travailler ensemble sur les dossiers.
Une pareille situation risque de crĂ©er une Ă©tanche cloison entre les deux au nom du principe fondamental de sĂ©paration des pouvoirs lĂ©gislatif, exĂ©cutif et judiciaire. Cette sĂ©paration pourrait constituer un terreau fertile pour accueillir les graines de la dualitĂ©. Ce serait une brĂšche dans laquelle pourraient sâengouffrer:
- dâopportunistes conseillers,
- â les diffamateurs, dĂ©tracteurs du projet et fabricants dâinfox
- â Des zĂ©lateurs et autres colporteurs de ragots
Il vaut mieux donc quâils se partagent le pouvoir exĂ©cutif comme ils le font actuellement. Ils pourront sans doute apporter quelques rĂ©glages supplĂ©mentaires pour Ă©viter les couacs.
Ousmane Sonko a fait toute sa campagne Ă©lectorale sur lâagenda de transformation systĂ©mique Senegal 2050. Lâobjectif nâest pas donc Ă mon avis quâil aille aprĂšs Ă lâassemblĂ©e nationale pour diriger lâinstitution parlementaire.
Il ne cherche pas Ă ĂȘtre deuxiĂšme personnage de lâordre protocolaire. Il ne semble pas autant intĂ©ressĂ© par ce genre de considĂ©rations.
Ousmane Sonko, premier ministre, nâa pas seulement une fonction de fusible ou de bouclier, il est aussi lâarchitecte numĂ©ro un du Projet. AprĂšs le lancement et la planification, il voudra certainement conduire la phase dâimplĂ©mentation. Il ne pourra pas se contenter dâorganiser le fonctionnement de lâinstitution parlementaire. Ă mon avis il risquerait de trop sâennuyer.
Que la « monstrueuse » dimension politique dâOusmane Sonko ne nous fasse pas oublier quâil est aussi un technocrate aguerri, « il sait dĂ©cider et agir en fonction des donnĂ©es techniques et Ă©conomiques sans donner la prioritĂ© aux facteurs humains».
Il est important quâOusmane Sonko reste le premier conseiller et le premier collaborateur du PrĂ©sident Bassirou Diomaye Faye.
Un dĂ©part dâOusmane Sonko de la Primature aurait aussi pour consĂ©quence un remodelage de lâexĂ©cutif aprĂšs quelques mois dâexercice. Ce qui serait une perte de temps considĂ©rable. Rappelons que lâassemblĂ©e nationale doit voter le budget de lâexercice 2025 dans des dĂ©lais trĂšs courts. Il est difficile dâimaginer un remaniement du gouvernement dans un contexte.
Par ailleurs, les analyses politiques concernant le PrĂ©sident de la RĂ©publique et son Premier ministre doivent tenir compte des relations humaines entre les deux leaders. On ne peut pas ignorer ce quâils ont vĂ©cu ensemble et ce quâils sont devenus⊠ensemble. Leurs destins semblent lier.
Je pense donc, quâaprĂšs avoir fait Ă©lire un PrĂ©sident de la RĂ©publique, il fera Ă©lire un PrĂ©sident de lâAssemblĂ©e nationale et retournera Ă la Primature pour sâoccuper des dossiers.
Et puis, Ousmane Sonko est bien installé au « petit palais », il ne va pas déménager une seconde fois nak
Que le tout Puissant veille sur le tandem Diomaye/Sonko
Ahmadou Bamba GUEYE
Coordinateur Section PASTEF HAUTS-DE-FRANCE
404 - 19
Les législatives du 17 novembre 2024 au Sénégal : Un carrefour historique !
Les Ă©lections lĂ©gislatives du 17 novembre 2024 au SĂ©nĂ©gal ne sont pas une simple formalitĂ© dĂ©mocratique. Elles reprĂ©sentent une occasion unique pour les Ă©lecteurs de dessiner l'avenir politique, Ă©conomique et social du pays. Comme lâa si bien dit Nelson Mandela : « LâĂ©ducation est lâarme la plus puissante pour changer le monde. » Ici, nous remplaçons lâĂ©ducation par le vote : le bulletin de vote devient cette arme pour transformer le SĂ©nĂ©gal.
Un carrefour historique : Pourquoi cette Ă©lection est cruciale ?
Le Sénégal est à la croisée des chemins. AprÚs des décennies de gouvernance marquée par des crises économiques, des scandales de corruption et une absence de réformes profondes, les citoyens réclament un nouveau souffle. Ces législatives ne concernent pas uniquement les partis en compétition ; elles touchent directement les préoccupations du quotidien des Sénégalais :
La cherté de la vie : Les prix des denrées alimentaires explosent, étouffant les ménages.
Le chĂŽmage massif des jeunes : 60% de la population a moins de 25 ans, mais lâemploi reste une denrĂ©e rare.
La gouvernance défaillante : La gestion opaque des ressources nationales, notamment dans les secteurs pétroliers et gaziers, suscite une colÚre grandissante.
Pourquoi voter pour le Président Ousmane SONKO et donner la majorité à la liste PASTEF ?
1. Une vision de rupture
Comme lâa soulignĂ© le PrĂ©sident Ousmane SONKO: « Nous ne voulons pas seulement un changement de dirigeants, mais un changement de systĂšme. » Le PASTEF propose une alternative aux vieilles pratiques politiques. Avec une majoritĂ© parlementaire, SONKO pourra impulser une rĂ©forme institutionnelle pour moderniser lâĂtat, renforcer les institutions dĂ©mocratiques, et combattre fermement la corruption en corrĂ©lation avec le rĂ©fĂ©rentiel SĂ©nĂ©gal 2050.
2. La souverainetĂ© au cĆur du programme
Le SĂ©nĂ©gal, malgrĂ© ses ressources naturelles abondantes, reste trop dĂ©pendant des partenaires Ă©trangers. SONKO appelle Ă une gestion nationale des richesses : « Notre pĂ©trole et notre gaz ne doivent pas enrichir les multinationales au dĂ©triment des SĂ©nĂ©galais. » Une majoritĂ© Pastef permettra dâadopter des lois favorisant lâĂ©conomie locale et protĂ©geant les ressources naturelles sans parler des diffĂ©rents pĂŽles.
3. La justice sociale comme priorité
Le PrĂ©sident Ousmane SONKO dĂ©fend une politique sociale audacieuse, axĂ©e sur lâĂ©ducation, la santĂ© et la rĂ©duction des inĂ©galitĂ©s. Il affirmait : « Un pays ne peut se dĂ©velopper tant qu'une partie de sa population est abandonnĂ©e. » Avec une majoritĂ© parlementaire, SONKO et son Ă©quipe gouvernementale pourront redistribuer les ressources pour amĂ©liorer le quotidien des citoyens les plus vulnĂ©rables.
4. Lâemploi pour les jeunes et les femmes
PASTEF propose des politiques ambitieuses pour booster lâentrepreneuriat, crĂ©er des emplois durables et valoriser les secteurs de lâagriculture, des technologies et de lâindustrie. Cela rĂ©pond aux attentes dâune jeunesse dĂ©sillusionnĂ©e qui veut construire son avenir au SĂ©nĂ©gal plutĂŽt que de risquer sa vie dans lâĂ©migration clandestine.
Le moment de vérité
Comme le disait Abraham Lincoln : « Les Ă©lections appartiennent au peuple. C'est leur dĂ©cision. Si elles tournent mal, c'est leur faute. » Cette Ă©lection est notre moment de vĂ©ritĂ©. Nous avons le pouvoir de changer le cours de lâhistoire.
En dĂ©finitive, en offrant la majoritĂ© au PrĂ©sident Ousmane SONKO et au PASTEF, les SĂ©nĂ©galais prennent leur destin en main. Ils choisissent un leadership qui place lâintĂ©rĂȘt national au-dessus des ambitions personnelles. Ils optent pour un avenir basĂ© sur la souverainetĂ©, la justice sociale et lâĂ©quitĂ©. Le 17 novembre 2024, votez intelligemment. Ne choisissez pas seulement pour aujourdâhui, mais pour les gĂ©nĂ©rations futures.
Le pouvoir est entre nos mains. Utilisons-le pour Ă©crire une nouvelle page de lâhistoire du SĂ©nĂ©gal.
Ibrahima DIOP
Professeur certifié de classe normale (Economie- Gestion : option comptabilité et finance) au lycée Général et Technologique Montgrand à Marseille.
Coordinateur de la Section de Pastef Nice CĂŽte dâazur
Vice-président du Commissariat Bonne Gouvernance Patriotisme et Citoyenneté (MONCAP DIASPORA)
Membre de lâAssemblĂ©e GĂ©nĂ©rale de Pastef France.
Ibrahima.Diop@ac-nice.fr
Ibrahima.Diop@ac-aix-marseille.fr
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Dans un Ă©lan de fraternitĂ© patriotique, Madame Fatoumata Bintou Diedhiou, coordinatrice du Mouvement Jiguenu Pastef (MOJIP) pour la zone sud et orientale, a dĂ©cidĂ© dâorganiser une caravane des linguĂšres de la zone sud pour soutenir les candidats investis participer activement aux Ă©lections lĂ©gislatives anticipĂ©es prĂ©vues pour le 17 novembre 2024. Son initiative vise Ă renforcer aussi la reprĂ©sentation fĂ©minine et Ă soutenir les valeurs et idĂ©aux du parti Pastef. Convaincue de l'importance de l'engagement citoyen, elle encourage ses consĆurs Ă s'impliquer dans le processus Ă©lectoral afin de porter la voix des femmes et de contribuer Ă un avenir plus inclusif et prospĂšre pour la nation.
Sous sa coordination, le MOJIP multiplie les actions de sensibilisation dans les communautĂ©s locales pour informer et mobiliser les Ă©lecteurs. Par cette dĂ©marche, Madame Diedhiou souhaite montrer que les femmes jouent un rĂŽle crucial dans lâĂ©dification de la sociĂ©tĂ©, et que leur implication est essentielle pour bĂątir un SĂ©nĂ©gal fort, uni et tournĂ© vers le progrĂšs.
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đš#Legislatives2024 - INNOVATION: Le PASTEF en mode feu de camp đ„ Ă partir de 23h pour le dĂ©marrage de la campagne Ă©lectorale. #MID đđżđđżđđż
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#AssembléesAnnuellesFMI: La vision « Sénégal 2050 » et la gestion de la dette au menu des discussions avec les partenaires.
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Jotna Tv est une chaine d'information en continu crĂ©Ă©e par de jeunes panafricains engagĂ©s et conscients des enjeux de lâheure.
Elle compte offrir une information de qualité, un nouveau point de vue, une nouvelle voix, sous un prisme panafricain.
Jotna Tv fait partie du Groupe Jotna Medias qui compte, en plus de la chaine, d'une radio, d'un blog et d'un site internet qui seront disponibles sous peu.
Jotna Tv s'adresse Ă toute la population africaine en gĂ©nĂ©ral et sĂ©nĂ©galaise en particulier.Il sâagira de rendre accessible les informations qui sont souvent destinĂ©es aux initiĂ©s, aux couches les plus dĂ©savantagĂ©es du fait des barriĂšres de la langue ou des termes scientifiques utilisĂ©es.
Enfin, contrairement aux diffĂ©rentes chaines sur le marchĂ©, Jotna Tv compte accorder une place trĂšs importante aux experts suivant lâactualitĂ© afin de permettre dâavoir un meilleur traitement de lâinformation.
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